Evangile du Mercredi 17 novembre (tire du Prions en Eglise et Afin de nos gens qui voudraient s’abonner au Prions)
« Pourquoi n’as-tu pas mis mon argent a Notre banque ? »
En ce temps-la, tel on l’ecoutait, Jesus ajouta une parabole : il est pres de Jerusalem et ses auditeurs pensaient que le royaume de Dieu allait se manifester a l’instant aussi. Voici donc votre qu’il devoile : « Un homme une noblesse partit dans votre pays lointain pour se Realiser donner la royaute et repasser ensuite. Il appela dix de ses serviteurs, ainsi, remit a chacun une somme une valeur d’une mine ; puis il un dit : “Pendant mon voyage, faites de bonnes affaires.” Mais ses concitoyens le detestaient, et ils envoyerent derriere lui une delegation chargee de dire : “Nous ne voulons jamais que cet homme regne sur nous.”Quand il fut de renvoi apres avoir recu la royaute, il fit convoquer les serviteurs auxquels il avait remis l’argent, afin de savoir votre que leurs affaires avaient rapporte. Le premier se presenta et dit : “Seigneur, la somme que tu m’avais remise a ete multipliee par dix.” Le roi lui declara : “Tres bien, bon serviteur ! Puisque tu as ete fidele en si peu de chose, recois l’autorite dans dix villes.” Le second vint reconnai®tre : “La somme que tu m’avais remise, Seigneur, fut multipliee avec cinq.” A celui-la encore, le roi devoile : “Toi, de meme, sois a la tete de cinq villes.” Le dernier vint dire : “Seigneur, voici la somme que tu m’avais remise ; je l’ai gardee enveloppee dans un linge. Indeniablement, j’avais peur de toi, car tu es 1 homme exigeant, tu retires ce que tu n’as jamais mis en depot, tu moissonnes votre que tu n’as nullement seme.” Le roi lui declara : “Je vais te juger via tes paroles, serviteur mauvais : tu savais que j’habite un homme exigeant, que je retire votre que je n’ai jamais mis en depot, que je moissonne ce que je n’ai pas seme ; alors pourquoi n’as-tu pas mis mon argent a J’ai banque ? A mon arrivee, je l’aurais repris avec les interets.” Et le roi devoile a ceux qui etaient la : “Retirez-lui cette somme et donnez-la a celui qui a dix fois plus.” On lui devoile : “Seigneur, il a dix fois 
plus ! – Je vous le declare : on donnera a celui qui possi?de ; mais celui qui n’a pas grand chose se verra enlever meme ce qu’il a. Quant a mes ennemis, ceux qui n’ont gui?re voulu que je regne dans eux, amenez-les ici et egorgez-les devant moi.” »Apres avoir ainsi parle, Jesus partit en avant concernant monter a Jerusalem.
Meditation
L’article s’inscrit dans la perspective du Jour de l’Homme : » il est pres de Jerusalem et ses auditeurs pensaient que le royaume de Dieu allait se manifester a l’instant meme « . Et la parabole qui est racontee annonce votre que Jesus va vivre prochainement : apres sa fond et sa resurrection, il retournera vers le Pere et, » apres avoir recu la royaute « , reviendra.
Le sujet qu’il pose a chacun.e dans ce passage reste celle de notre fecondite. Qu’avons-nous fera d’la mine qui nous a ete donnee ? Ou, evoque autrement : Qu’avons-nous fera de notre vie offerte gratuitement avec Dieu ou de notre identite filiale unique ? Dans quelle mesure avons-nous ete cocreateurs avec Lui et avons-nous fructifier bien ce qui nous fut donne ? Le texte evangelique nous eclaire concernant cela nous empeche de consentir au don que nous portons ainsi que le multiplier.
Notre premiere raison invoquee est la haine : » Mais ses concitoyens le detestaient « . Et le fondement de cette haine est le refus : » Nous ne voulons pas que cet homme regne sur nous. » De telles pensees placent l’etre humain dans une contradiction interieure profonde a l’egard de qui il est. Si Dieu est Amour, si de toute eternite Cela a voulu partager votre Amour avec l’humain et si l’humain a ete engendre et « faconne » Afin de cet Amour, toute haine reste, a sa racine, un refus de l’A(a)utre tout autant que de nous-memes.
Dans une telle position interieure, la mine recue ou, comme nous l’avons devoile, l’identite recue de Dieu ne est en mesure de etre que refusee… cela refus va jusqu’a la haine de nous-meme, d’etre votre gamin ou votre fille de Dieu, d’etre cet humain constitutivement fait Afin de Dieu. Ce que cela provoque en nous est la peur, comme nous le revele ce troisieme serviteur dans votre passage : » j’avais peur de toi « . La naissance de une telle peur reste tout a fait logique, meme si la peur elle-meme reste irrationnelle, car quel rempart interieur reste-t-il a un humain quand, refusant Dieu, il se refuse lui-meme ? Sans votre roc identitaire en Dieu, nous sommes une maison fondee sur le sable. Tout devient menace et peur interieur a une ecroulement complet. N’est-ce nullement ce que nous constatons au coeur de votre pandemie ? Tant d’hommes et de femmes s’ecroulent interieurement… au point que la peur et la haine seront un seule demeure et leur seule voie de salut. Tuons l’A(a)utre qui existe vraiment Afin de ne point sentir la deroute interieure de notre etre.